Il
n’y a pas de ciel, pas de mer, pas de champs, pas de nuage, pas de visage, pas
de corps, pas de ligne d’horizon, pas de profondeur, pas de plans, pas de
contour, pas de dégradé, pas de quoi rassurer notre catalogue de références.
Dans
ce désespoir de formes, à fleur de main, l’œil ose se placer à la seconde
place.
Cette
approche n’est pas anodine car en touchant la surface du tableau, nous nous
relions au mouvement vibratoire de l’Univers.
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